Après deux ans d’épidémie, ce petit village italien ne résiste plus au Covid a cura di Serge Maugino

Serge Maugino mi segnala un articolo sulla valle Soana e precisamente su Ingria

tratto dalla testata francese “capital.fr”
Après deux ans d’épidémie, ce petit village italien ne résiste plus au Covid – Capital.fr
Après deux ans d’épidémie, ce petit village italien ne résiste plus au Covid
Situé entre Turin et Aoste, à 816 mètres d’altitude, le village d’Ingria a enregistré ses deux premiers cas positifs de Covid-19, depuis deux ans, dont le maire, indique France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.
Par Jean Delterme
Publié le 08/01/2022 à 15h32

Après deux ans de pandémie et cinq vagues de Covid-19, le virus aura eu raison d’Ingria, dans la région du Piémont. Situé entre Turin et Aoste, à 816 mètres d’altitude, ce petit village a enregistré son premier cas positif, indique France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. “Asymptomatique, heureusement”, explique le maire Igor De Santis. “L’important étant que la personne se porte bien et ne développe pas une forme grave de la maladie.”
“Un jour ou l’autre, il fallait bien que ça arrive”, précise un adjoint au maire, dans les colonnes du quotidien La Stampa. Pour le maire Igor De Santis, si le village a tenu si longtemps, c’est avant tout grâce à la vaccination des seniors. “Il n’y a pas de secret. Si nous sommes restés, je crois, l’un des seuls villages d’Italie à n’être pas du tout contaminés, c’est d’abord parce que tous nos anciens ont été vaccinés. Et que notre trentaine d’habitants à l’année ont toujours fait de leur mieux pour respecter les gestes barrières”, affirme-t-il.
L’exception Ingria
Pourtant, rien n’a été facile. Durant ces deux dernières années, toutes les communes au nord de Turin enregistraient au moins un cas positif, jusqu’à virer au rouge sur la carte sanitaire mise en place par l’unité de crise de la région Piémont. Ingria, seule contre tous, restait épargnée par la Covid-19. Une exception.
“Mais nous ne vivons pas coupés du monde, poursuit le maire. Pendant les vacances ou les week-ends, notre population augmente. Avec les propriétaires de résidences secondaires qui montent de Turin, Milan… ou même de France. Beaucoup de personnes originaires du village y ont gardé une maison de famille.”
versione in italiano
Situato tra Torino e Aosta, a 816 metri sul livello del mare, il villaggio di Ingria ha registrato i suoi primi due casi positivi di Covid-19, da due anni, tra cui il sindaco, dice France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.
Di Jean Delterme
Pubblicato il 08/01/2022 alle 15:32
Dopo due anni di pandemia e cinque ondate di Covid-19,il virus avrà sconfitto l’Ingria, in Piemonte. Situato tra Torino e Aosta, a 816 metri sul livello del mare, questo piccolo villaggio ha registrato il suo primo caso positivo, dice France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. “Asintomatico, per fortuna”, dice il sindaco Igor De Santis. “L’importante è che la persona stia bene e non sviluppi una forma grave della malattia”.
“Un giorno o l’altro doveva succedere”, dice un vicesindaco, sulle colonne del quotidiano La Stampa. Per il sindaco Igor De Santis, se il borgo è durato così a lungo, è soprattutto grazie alla vaccinazione degli anziani. “Non c’è segreto. Se siamo rimasti, credo, uno dei pochi borghi in Italia che non è affatto contaminato, è prima di tutto perché tutti i nostri anziani sono stati vaccinati. E che i nostri trenta abitanti tutto l’anno hanno sempre fatto del loro meglio per rispettare i gesti di barriera”, dice.

L’eccezione Ingria
Eppure nulla è stato facile. Negli ultimi due anni, tutti i comuni a nord di Torino hanno registrato almeno un caso positivo, fino a diventare rossi sulla mappa sanitaria allestita dall’unità di crisi della regione Piemonte. Ingria, sola contro tutti, è rimasta risparmiata dal Covid-19. Un’eccezione.
“Ma non viviamo tagliati fuori dal mondo, continua il sindaco. Durante le vacanze o i fine settimana, la nostra popolazione aumenta. Con i proprietari di seconde case che salgono da Torino, Milano… o anche la Francia. Molte persone del villaggio hanno tenuto una casa di famiglia lì”.